Je fais de la photo depuis l'adolescence. mais c'est devenu une histoire srieuse depuis quatre ans à peu près lorsqu'on m'a soufflé à l'oreille "fais e la photo". vD'abord photographe de rue, je revendique la liberé de pouvoir figer des instants d'humanité, de fixer des attitudes, des regards. C'est ma façon de respirer et de me sentir vivante. L'humain est une matière qui m'intéresse, me fait parfois aussi de la peine, m'interroge. Ma photographie le sublime, la fixe pour des années dans le flux du monde.

Si photographier c’est être libre, alors je veux être photographe.


Photographe de rue, accrochée à mon appareil comme à un trésor, j’éprouve un incommensurable bonheur à figer l’instant, celui qui ne reviendra jamais. L’Humanité me passionne autant qu’elle m’interroge. L’Humanité me bouleverse autant qu’elle me questionne. Fixer un regard, sublimer une attitude, interroger les interactions sont autant de raisons qui me donnent envie chaque matin de recommencer. 
Nager dans le grand bain des rues bondées ou battre la campagne, l’œil toujours aux aguets, la perspective de la photo à venir me remplit de joie.  Parce qu’il y a de la beauté et de la poésie partout pour qui ouvre son regard à cette dimension incroyable de l’existence, je veux composer avec l’esthétique et le poétique jusqu’au dernier souffle.
Je veux des rencontres, des partages, de la lumière et des ombres, juste pour que quelques secondes deviennent éternité.
« On n’arrête pas de voir. On n’arrête pas de cadrer. Il ne s’éteint pas et ne s’allume pas. C’est allumé tout le temps. » Annie Leibovitz
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